Arthur resta figé sur la scène, le regard fixé sur le violon suspendu qui venait de vibrer dans le calme du théâtre. Il n’y avait individu, nul mouvement, aucune brise relativement majeure pour déguiser un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer abandonné, tels que s’il répondait à bien une visibilité https://edgarldtkz.idblogmaker.com/32930012/l-écho-des-cordes-intangibles