Le vent hurlait à travers les hautes les abymes de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite amphithéâtre de devoir, un moine s’éclairait à la illumination vacillante d’une chandelle. La sou était emplie de l’odeur du parchemin ancien et https://voyancegratuitediscount68899.blog5.net/77660441/l-encre-de-la-destinee