L’archéologue scrutait l’horizon, les sables dorées s’étirant en tant qu' un océan figé marqué par l'éclairage du soleil déclinant. Le vent continuait de enflammer des volutes de poussière, mais ses énergies était ailleurs. Les ombrages qu’il avait vues un instant plus tôt n’avaient laissé zéro empreinte, aucune ecchymose dans le https://voyantmail67776.blogdun.com/34475157/le-sable-et-les-comètes