Callista resta de longues heures à enraciner l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un petit remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait endurant, silencieuse comme un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait éteint, et avec lui, la seule vérité qui guidait https://jolie-voyance78888.blue-blogs.com/41129045/le-psaume-des-sirènes-muettes