La gare était plongée dans une brume dense, un store épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de une passerelle indiquait minuit, l’heure exacte du début du train. Le passager se tenait continu, décidant de suivre l’immense machine d’acier mélancolique qui sifflait délicatement, https://franciscosenua.idblogz.com/34391916/le-numéro-désiré