L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une lumière pâle. Les ombrages de l'obscurité s’effaçaient miette à nuage, mais sur le papier de riz, d’autres obscurcissements persistaient. Comme n'importe quel matin, il se dirigea vers son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de futurs technique https://hectorvegkl.bloguetechno.com/l-encre-qui-disparaît-69029476