Dans l’enceinte admirablement hermétique du noyau d’appels, les équipes continuaient à répondre aux sollicitations sans noms, bercés par le rythme monotone de leurs shifts, l’esprit oscillant entre accaparement pénétrante et dépérissement diffus. Chaque voyant recevait des flux sensoriels par une interface adaptative, ajustée à son profil cérébrale. Aucun contact visuel, https://manueltiuht.blogolenta.com/30912273/le-foyer-d-appels-des-disparus