Dans un seul cabinet localisé en périphérie de cambrais, une acupunctrice pratiquait son art sur plus de 10 années dans une discrétion supérieure. Les murs en propos formel, l’odeur d’huiles majeures et le silence constant formaient l’écrin parfait pour les séances quotidiennes. Jusqu’au ouverture où, en plantant une aiguille au https://charliegxywi.blog2learn.com/81791205/le-degré-fantôme