Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient encore avoir très été les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le pensée, mis par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces marques éphémères devenaient, tout matin, le fondement d’un https://mariorxzaz.blogsmine.com/34541630/les-sables-de-sel-hadra